Jeremy.
You-must-be-dreamin
There's a part of me you'll never know
You-must-be-dreamin
There's a part of me you'll never know
Mardi 13 septembre 2011 à 0:46
Gueule un bon coup, frappe des coups invisibles, laisse toi aller, ferme les yeux et oublie toi, fais ce que tu veux mais avance. Sois toi même sans artifices, sans craintes, je t'aime comme tu es, prends-en conscience. Je ne te demande pas de survivre, je te demande juste de vivre la vie que tu aimerais vivre, une vie à mes côtés, une vie seine, une vie clean. Laisse moi te montrer que tu n'as pas besoin de toute cette merde. Laisse moi te montrer que derrière cette porte qui te sépare du monde, tout peut être aussi beau que tu le souhaite. Laisse moi te montrer que tout peut être aussi doux, calme et simple que la chambre stérile, vide et calme qui fut ton lieu de salut. Vis cette renaissance pleinement, vois la vie qui t'attends au loin. Cette vie dans laquelle ma main ne lachera jamais la tienne. Dis toi que si je devais t'abandonner, je l'aurais déjà fait, rends- toi compte qu'après toutes les merdes qu'on a traversé je suis toujours là, On a franchis toutes les barrières, franchissons maintenant cette porte, tous les deux. Prends ma main, ferme les yeux et respire. Regarde droit devant toi et vois la vie qui se dessine devant toi, le chemin qui s'éclaire devant tes pieds, vois cet avenir, vois notre amour. Avance et imagine le monde que tu aimerais voir, dans lequel tu aimerai vivre. Regarde moi et dis moi que tu m'aimes, parce que désormais ça sera ta dope quotidienne. Et tu verras que c'est la plus merveilleuse des drogues. Je t'aime Nathan, on revient de tellement loin mais on l'a fait, on a réussi. Je t'aime à cet instant et pour tous les autres à venir, éternellement.
Vendredi 9 septembre 2011 à 1:25
J'ai perdu l'habitude de ton absence, j'ai perdu l'habitude des nuits passées loin de tes bras, des pièces vides de ta présence, du silence, du vide. J'ai perdu l'habitude de l'ennui, de la solitude, des insomnies.
Je te veux toi, notre quotidien, nos habitudes. Je veux nos bonnes nuits, les mêmes phrases chaque soir, tes bras qui m'entourent et tes bisous sur ma nuque. Je veux ta présence, tes sourires, je veux tes blagues pourries mais qui pourtant me font tellement rire, je veux te voir au loin et sentir mon pouls s'accélérer, je veux passer mes mains dans tes cheveux, t'entendre encore me parler des heures de ce que tu aimes et rester silencieuse parce que c'est comme écouter la plus belle des histoires. Je veux me fondre dans ton corps, pleurer de joie, piquer mes colères sans que ça ne t'atteigne, t'écouter jouer, prendre ma douche avec toi. Je veux allumer nos cigarettes par deux, marcher en te tenant la main, mettre mes affaire dans ton sac, te tirer la langue... Ne plus te mentir en te disant que je n'aime pas la routine... J'aime notre routine puisqu'elle veut dire vivre avec toi. Reviens-moi vite!
Je te veux toi, notre quotidien, nos habitudes. Je veux nos bonnes nuits, les mêmes phrases chaque soir, tes bras qui m'entourent et tes bisous sur ma nuque. Je veux ta présence, tes sourires, je veux tes blagues pourries mais qui pourtant me font tellement rire, je veux te voir au loin et sentir mon pouls s'accélérer, je veux passer mes mains dans tes cheveux, t'entendre encore me parler des heures de ce que tu aimes et rester silencieuse parce que c'est comme écouter la plus belle des histoires. Je veux me fondre dans ton corps, pleurer de joie, piquer mes colères sans que ça ne t'atteigne, t'écouter jouer, prendre ma douche avec toi. Je veux allumer nos cigarettes par deux, marcher en te tenant la main, mettre mes affaire dans ton sac, te tirer la langue... Ne plus te mentir en te disant que je n'aime pas la routine... J'aime notre routine puisqu'elle veut dire vivre avec toi. Reviens-moi vite!
Cherry à Kelly.
Jeudi 11 novembre 2010 à 16:45
Je revois ton corps, je suis penché au-dessus de toi, essayant en vain de te réanimer. Mes mains tremblent, je n’arrive plus à respirer, je me sens partir avec toi.
Respire mon amour ! RESPIRE BORDEL !!
Juste un souffle, juste un. Je t’en prie, un seul et je t’offre le mien, jusqu’à mon dernier souffle, je te donne tout, mais vis. Montre-moi que tu m’entends, montre-moi que tu m’aimes.
Reviens ! REVIENS-MOI !!!
Vis pour moi, reviens, ne pars pas, ne m’abandonnes pas, ne me laisse pas seul. J’ai besoin de toi putain ! NE ME LAISSE PAS ! Merde Aydhe, je ne suis rien sans toi. NE PARS PAS ! Ton cœur ne bat plus, ta peau est glacée, tu m’avais dit que ton cœur battrait toujours pour moi, ne me quitte pas sur un mensonge, t’as pas le droit, T’AS PAS LE DROIT MERDE ! REVIENS !
Ils s’approchent de moi, me disent que c’est fini, qu’il n’y a plus rien à faire, que je dois l’accepter. Mais je sais que c’est faux, tu ne peux pas m’abandonner, tu m’avais promis. Merde écoute-moi !
Je suis là mon amour, je suis juste à côté de toi, ma main est dans la tienne, accroche toi à moi, ne me lâche pas, ME LACHE PAS ! NE PARS PAS ! T’as pas le droit…
Mais putain qu’est-ce que j’ai fait, pourquoi Il te reprend à ses côtés, pourquoi Il t’enlève à moi. Je demande pardon, pardon pour toutes mes erreurs pour le mal que j’ai fait, ne me l’enlevez pas. Ne m’enlevez pas Aydhe, pas celle qui m’a rendu meilleur, pas celle pour qui j’ai toujours vécu. Ne m’enlevez pas mon souffle de vie, rendez la moi… RENDEZ LA MOI MERDE !!!!
AYDHE REVIENS MON AMOUR !!!!!
Ecoute-moi, écoute ma voix, ECOUTE-MOI ! Je gueule assez fort pour que tu m’entendes, je gueule assez fort pour toi là ? Alors reviens, par pitié reviens !!! CHERIE MERDE M’ABANDONNE PAS !
Sens-tu mes lèvres sur les tiennes ? Souviens-toi de nos baisers, souviens-toi de nos sourires, souviens-toi de notre bonheur, souviens-toi ne notre amour, souviens-toi de moi et reviens, reviens mon amour, reviens !
Je sens leurs bras qui m’entourent, je les entends me dire de te lâcher, de me calmer, de te laisser partir et d’accepter, ils m’emmènent, je ne veux pas partir loin de toi. Reviens ! AIDE-MOI, je vais blesser quelqu’un, je vais me faire du mal sans toi. Reviens mon amour, tu sais bien que je me noie sans toi, que je suis incapable de voir la lumière là où tu n’es pas. Ne me laisse pas comme ça ! PARS-PAS !!!
REVIENS AYDHE PUTAIN ! JE T’AIME !!!! JE T’Aime… je t’aime…je t’aime…je t’aime…
Evan et Aydhe
Vendredi 15 octobre 2010 à 1:19
Tu te souviens comment c'était ? L'enfance, tu te souviens comment c'était ? Tu sais, t'habiller en princesse avec une jolie robe et des collants assortis, jouer à la princesse, regarder le ciel et inventer des histoires avec les nuages et tourner.... Fermer les yeux et sentir le vent sur ton visage, tourner encore et encore jusqu'à ce que tu ne sentes plus ton corps, avoir le tournis et être prise d'un fou-rire, continuer encore et encore, faire voler autour de toi le jupon de ta jolie robe de princesse. Te sentir libre, avoir l'impression de pouvoir voler, que rien n'est insurmontable, cette insouciance qui disparaît un peu plus chaque année. Rester le nez cacher sous ta couette à compter après l'apparition d'un éclair pour te rassurer parce que l'orage est encore bien loin, et à chaque grondement serrer toutes tes peluches contre toi et te réfugier sous ta couette, comme si tu étais dans le lieu le plus sécurisé de tout le monde, de toute la planète, de toutes les étoiles, de tout ce qui est grand et que tu ne peux pas toucher et que pourtant tu imagines très bien. Tu te souviens comme c'était bien, de pouvoir pleurer sans honte, pour quelque chose sans importance mais qui pourtant en avait tellement pour toi, pleurer à chaudes larmes juste parce que la maman de Bambi est morte ou juste parce que toutes les filles sont des princesses.
Et puis un jour tu tournes en rond et tu t'éclate la gueule sur le béton, adieu les collants assortis, tu retiens tes larmes parce que tu as grandi, la foule te bouscule et quelqu'un te prend la main et ne la lâche pas, tu regarde ce visage. Il te souris et tu ris à nouveau, tu te sens à nouveau voler, flotter dans les airs, tu as de nouveau cette impression que rien n'est insurmontable. Et puis tu reste le nez sous la couette, cachée au creux de ses bras, en sécurité. Il te fait voir toutes ces choses que tu n'avais jamais vu mais que tu imaginais très bien, tu ne te caches plus pour pleurer puisqu'il est là pour sécher tes larmes, il efface la moindre des peines d'un baiser sur tes paupières. Et puis tu te dis que finalement t'en as vraiment rien à foutre que toutes les filles soient des princesses puisque toi tu n'en ai pas une, tu es bien mieux, tu es sa reine, sa femme, son trésor le plus précieux, son Unique,...
En fait tu vois, l'amour c'est comme l'enfance : magique!
Et puis un jour tu tournes en rond et tu t'éclate la gueule sur le béton, adieu les collants assortis, tu retiens tes larmes parce que tu as grandi, la foule te bouscule et quelqu'un te prend la main et ne la lâche pas, tu regarde ce visage. Il te souris et tu ris à nouveau, tu te sens à nouveau voler, flotter dans les airs, tu as de nouveau cette impression que rien n'est insurmontable. Et puis tu reste le nez sous la couette, cachée au creux de ses bras, en sécurité. Il te fait voir toutes ces choses que tu n'avais jamais vu mais que tu imaginais très bien, tu ne te caches plus pour pleurer puisqu'il est là pour sécher tes larmes, il efface la moindre des peines d'un baiser sur tes paupières. Et puis tu te dis que finalement t'en as vraiment rien à foutre que toutes les filles soient des princesses puisque toi tu n'en ai pas une, tu es bien mieux, tu es sa reine, sa femme, son trésor le plus précieux, son Unique,...
En fait tu vois, l'amour c'est comme l'enfance : magique!
Jenna
Vendredi 8 octobre 2010 à 23:19
J'aimerai tellement pouvoir trouver la solution qui pourra me rapprocher de toi. Te prendre par la main et te serrer dans mes bras. Rester contre toi et passer des heures la tête dans ton cou, à respirer ton parfum, m'enivrer de toi et veiller toute la nuit à te regarder dormir. Calme, serein comme si plus rien au monde n'était source de douleur ou de souffrance, j'aimerai tellement apaiser tes peines et te dire que tout ira bien. J'aimerai poser ma bouche sur la tienne et respirer ton moindre souffle. J'aimerai pouvoir te guider à travers la nuit, être la lumière de tes cauchemars, t'ouvrir la route du bonheur.
Je t'entends, à chaque instant, je t'entends gueuler cette putain de douleur qui t'anime. Je te vois, les mains tremblantes dans le noir implorer la délivrance, attendre que le calme revienne. Mais je ne suis qu'un fantasme, une apparition, regarde moi, vois moi. Laisse moi être celle qui prendra ta main, fais moi vivre, laisse moi devenir réelle et pas juste une illusion.
Prends un crayon et dessine moi, écris moi de tes plus belles notes, joue moi de ta plus belle mélodie. Sois épris de frénésie, et crée moi. Fais moi vivre. Donne moi cette partie de toi qui te fais tant souffrir. Laisse moi t'accompagner, laisse moi te sauver de la solitude. Ouvre moi la porte de ton coeur, laisse moi devenir ta créature, ta muse, ton amour, ta guérison.
Fais moi devenir celle qui allumera cette flamme dans tes yeux. Juste devenir tienne pour l'éternité...
Je t'entends, à chaque instant, je t'entends gueuler cette putain de douleur qui t'anime. Je te vois, les mains tremblantes dans le noir implorer la délivrance, attendre que le calme revienne. Mais je ne suis qu'un fantasme, une apparition, regarde moi, vois moi. Laisse moi être celle qui prendra ta main, fais moi vivre, laisse moi devenir réelle et pas juste une illusion.
Prends un crayon et dessine moi, écris moi de tes plus belles notes, joue moi de ta plus belle mélodie. Sois épris de frénésie, et crée moi. Fais moi vivre. Donne moi cette partie de toi qui te fais tant souffrir. Laisse moi t'accompagner, laisse moi te sauver de la solitude. Ouvre moi la porte de ton coeur, laisse moi devenir ta créature, ta muse, ton amour, ta guérison.
Fais moi devenir celle qui allumera cette flamme dans tes yeux. Juste devenir tienne pour l'éternité...
Lola